[vc_row][vc_column width= »1/6″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][vc_single_image image= »2637″ img_size= »full » alignment= »center »][/vc_column][vc_column width= »1/6″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/6″][/vc_column][vc_column width= »2/3″][vc_column_text]«Wahooo !! il a de l’embonpoint ton fils ! Oui, c’est de famille chez nous. Tout le monde est gros chez nous, même le chien est gros »
Peut-être avez-vous déjà entendu cette petite conversation, ou vous l’a-t-on même déjà adressée.
L’obésité, c’est en termes simples, c’est l’accumulation excessive de graisse corporelle, ce qui peut nuire à la santé. En fait dans le monde aujourd’hui, de plus en plus d’ados sont obèses.
LES CAUSES
Pour l’expliquer, on est obligé de prendre en compte les facteurs sociétaux, comme les mauvaises habitudes alimentaires. Aujourd’hui, comme vous le savez, on mange trop gras, trop huilé, trop sucré, trop salé, en trop grande quantité, et on ne bouge plus assez pour brûler le surplus de calories, du coup, ça se stocke. C’est donc simplement un excédent de graisse dans le corps, et ce n’est pas différent chez l’enfant. Ils sont principalement dus à une alimentation trop riche et une activité physique faible. C’est connu, aujourd’hui on ne bouge plus beaucoup. Les jeux sont de plus en plus virtuels, donc sédentaires, la télévision, les jeux vidéo, les smartphones, les salles de cinéma… n’arrangent pas les choses.
Il peut aussi s’agir de prédispositions familiales (les mauvaises habitudes alimentaires se transmettent de … mère en fille sur des générations. Il n’ y a donc pas de « sang gras »). Rarement l’obésité est liée à une maladie génétique ou endocrinienne. Certains médicaments peuvent aussi favoriser le surpoids (les antiépileptiques, les corticoïdes, les traitements hormonaux…)
Il y a enfin les enjeux psychologiques, surtout dans une société où règne la tyrannie du « maigre » et du « régime ». Ailleurs, comme en Afrique par exemple, on pense que plus on est gros, mieux on est en bonne santé. Dès la petite enfance, les parents inconsciemment créent une distorsion de la relation parent-enfant. Un bébé a besoin d’être nourri, mais il a aussi besoin d’affection pour s’épanouir. Mais certains parents associent toujours les pleurs de l’enfant à un désir de nourriture. Du coup dès que le bébé ressent un inconfort quel qu’il soit, ses parents réagissent en le nourrissant. C’est comme ça que l’enfant va prendre l’habitude de trouver du réconfort dans la nourriture. L’enfant, l’ado, puis l’adulte auront donc tendance à utiliser la nourriture pour apaiser toutes leurs émotions (tristesse, colère, fatigue, ennui…) et combler ainsi ses sensations de manque.
Chers parents, rappelons-nous que la taille de l’estomac a à peu près la taille de la paume de notre main. En réalité c’est ça la quantité moyenne de nourriture qu’il faut à notre corps pour qu’il y trouve les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme (c’est ça le but principal de notre alimentation, on y associe juste le plaisir de manger). Mais les mauvaises habitudes, favorisées par notre mode de vie (on sort le matin, en courant, du coup on a à peine le temps de grignoter, pour ne rentrer que le soir pour faire bombance, alors que le corps à ce moment de la journée n’a plus besoin de gros apports caloriques), la mauvaise « éducation » des restaurants qui nous proposent les plats de nourriture de plus en plus rempli, style taille XXL.
Il ya aussi la sédentarité. Le mode de vie moderne. On se déplace très peu à pied ou à vélo, bref tout ce qui pourrait favoriser l’utilisation par le corps des graisses stockées. On se déplace en voiture, on reste au bureau ou à la boutique toute la journée, c’est à peine si on se lève pour s’acheter quelque chose à manger. On se fait tout livrer sur place.
Il faut quand même reconnaître que les ados bougent plus que leurs parents. Ils font du sport en bande. Mais vu les résultats, on peut reconnaître qu’ils manquent de méthode, puisqu’ils ne maigrissent pas.
Il ya aussi les facteurs économiques, les régions les plus défavorisées sont quelques fois les plus touchées. On mange ce qu’on peut s’offrir sans tenir compte des apports caloriques.Il y a enfin les enjeux psychologiques, surtout dans une société où règne la tyrannie du « maigre » et du « régime ».
Tout ceci a des conséquences sur la santé (arthrose, diabète, maladies cardio vasculaire, asthme, faible estime de soi…)
CE QU’IL FAUT FAIRE
Et vous avez-vous des astuces pour gérer le poids de vos ados ? Si oui merci de les partager avec nous dans les commentaires ci-dessous.
A plus
Micheline SAME[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/6″][/vc_column][/vc_row]